Je te dis et je confirme ce que je t’ai dit: Tu es fantastique!
C’est vrai, il faut y croire 😉
Une petite voix me dit que tu as des doutes: je ne comprends pas…
Ça ne suffit pas que je t’aie dit que tu es fantastique?
Non?
Je dois encore te le prouver?
Tu es pénible toi…
Je rigole… et je ne t’en veux pas…
Ça tu peux le croire…
C’est oui?